Plus de dix jours se sont écoulés depuis que le juge d’instruction a prononcé l’arrestation et les poursuites judiciaires qui ont suivi Dani Alves emprisonné sans cautionL’ancien joueur du FC Barcelone est accusé d’avoir agressé sexuellement une fille dans une boîte de nuit de Barcelone dans la nuit du 30 décembre. Désormais, c’est sa femme Joanna Sanz qui a décidé de franchir une nouvelle étape en justice contre le Barça : La procédure de divorce a commencé.
Après la semaine la plus compliquée pour le mannequinat, cela a été confirmé ce matin par « El Programa de Ana Rosa », qui a dénoncé le harcèlement sur les réseaux sociaux suite à l’arrestation d’Alves. Espace Telecinco garanti Joanna insiste sur le fait que la décision de divorce a été prise unilatéralement par elle-mêmesans conseil juridique, pas même sous le prétexte de rencontrer son mari face à face.
Joana Sanz a commenté dans sa première déclaration la situation personnelle délicate qu’elle traverse non seulement à cause des abus présumés de Dani Alves, mais aussi parce que Sa mère est récemment décédée d’un cancer de l’utérus. En fait, il semble que ce soit sa propre prise de conscience que c’est sa vulnérabilité émotionnelle qui l’a amenée à défendre l’ex-footballeur en premier lieu : « Je sais qui est mon mari et à quel point il est respectueux. « Le mannequin a été pointé du doigt peu de temps après l’arrestation de son mari.
Joanna demande le divorce tandis que Dani est en prison sans caution pour des allégations d’agression sexuelle.rappelons-nous ceci L’ex-footballeur a abandonné trois éditions différentes de la soirée de match, Et la jeune femme qui a porté plainte correspond aux données qu’elle a fournies lorsqu’elle s’est rendue au commissariat pour porter plainte quelques heures après l’agression sexuelle présumée.
Dani Alves a d’abord commenté que tout était un mensonge.Dans une deuxième déclaration, il a admis avoir été en Les boîtes de nuit de Sutton A côté de la fille, dans la troisième version, il promet que c’est elle qui se jette sur lui pour un rapport sexuel consensuel. La jeune femme a refusé une compensation financière, donc personne n’a osé remettre en cause la véracité de son histoire.
Photo | @joanasanz