Combien De Femmes Avait Le Prophete?

Mais il s’agit là, entre 622 et 632, du Mahomet de Médine, un Prophète devenu abondamment polygame, puisqu’il épousa treize femmes. Il ne consomma pas le mariage avec deux d’entre elles, dont Asma, parce qu’elle était lépreuse. À sa mort, Mahomet laissa neuf épouses.

Quels Sont Les Épouses Du Prophète ?

Les onze ou treize (selon les sources) épouses de Mahomet sont appelées, dans l’islam, « les mères des croyants ». Comme toujours à cette époque, les mariages sont avant tout des alliances avec des familles, des clans ou des tribus, dans un but politique ou militaire. Vers 25 ans, Mahomet se marie avec Khadija, qui a plus de 42 ans. Elle avait plusieurs enfants et avait divorcée, précédemment, 4 fois. Elle est la mère de Fatima Zahra.

Khadija meurt et Mahomet devient veuf. Khawlah bint Hakim lui suggère alors d’épouser Sawda qui a déjà 5 ou 6 enfants. Au mariage, Sawda avait 55 ans. Aïcha est la fille d’Abu Bakr, un ami de Mahomet. Sa date de naissance est inconnue car les registres de naissance n’existaient pas. Les apologètes musulmans disent qu’elle avait entre 9 et 20 ans lors de son mariage.

Hafsa est la fille d’Omar ibn al-Khattab qui était aussi un ami de Mahomet, et également l’un des quatre « califes bien guidés ».

Qui A Été La Première Femme Du Prophète ?

Khadija bint Khuwaylid (arabe : خَدِيجَة بِنت خُوَيلِد الطَّاهِرَة[Note 1]), née entre 555 et 560 et morte en 619 à La Mecque, est la première épouse du prophète de l’islam Mahomet. Elle est considérée dans l’islam comme « la mère des croyants », tout comme les autres femmes du prophète de l’islam. Née en 556[1] ou entre 555 et 560 à La Mecque chez Khuwailed bin Assad[2]. Elle appartient à l’importante tribu mecquoise des Banu Asad, branche des Quraych[2].

D’après Ibn Ishaq, son cousin Waraqa ibn Nawfal est moine nestorien[3]. Khadidja était une marchande aristocrate[4]. Khadija s’est mariée deux fois avant son mariage avec Mahomet. Son premier mari est Abou Hala (Abū Hāla Hind b. al-Nabbāsh de Tamīm) avec qui elle aura un garçon, Hind, et une fille, Hala. Ce mariage se termine par un divorce[5]. Son second mari fut avec Atīq b. ‘Ābid de Makhzūm. Ils auront une fille, Hind[4].

Veuve[2], elle engagea un jour le jeune Mahomet, qui s’était fait remarquer par son intégrité, pour conduire son commerce caravanier vers la Syrie. Il devient vite son homme de confiance, et elle lui propose le mariage, qu’il accepte en 595 avec la permission de son oncle Abû Tâlib[5]. Les sources traditionnelles (Ibn Ishāq et Ibn Sa’d, par exemple) s’opposent sur le récit de la demande en mariage[2]. Elle avait, selon la majorité des sources[2], alors 40 ans et lui 25[5].

Quel Est La Dernière Femme Du Prophète Mohammed ?

Aïcha n’exerce aucune influence sur l’action politique ou religieuse de son époux du vivant de ce dernier.À la mort de Mahomet, Aïcha est une jeune veuve sans enfants, alors âgée de dix-huit ans. Elle se tient à l’écart de la scène politique jusqu’au califat d » Uthmān, troisième successeur du Prophète et chef de la communauté musulmane de 644 à 656. Aïcha fomente le mouvement d’opposition qui conduira à l’assassinat du calife, en 656.

Elle prend ensuite les armes contre son successeur, ‘Alī. Elle est vaincue au cours de la bataille du Chameau, ainsi nommée à cause de la monture d’Aïcha, qui en était l’enjeu. Aïcha est faite prisonnière puis ramenée à Médine, où il lui sera permis de finir paisiblement sa vie. — E.U. Universalis, « AÏCHA (614-678) », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le . URL : « AÏCHA (614-678) ». Dans Encyclopædia Universalis [en ligne]. Consulté le sur Encyclopædia Universalis, s.v.

« AÏCHA (614-678) », Consulté le ,

Qui Est Le Plus Cité Dans Le Coran ?

La Torah de Moussa annoncerait le prophète Mahomet[5],[b 1] et Moussa est de loin le plus cité des prophètes par les textes coraniques, le nom du prophète Moussa y apparaissait à cent trente-six reprises[8]. Moussa est également le seul des prophètes à avoir entendu directement Dieu lorsqu’il reçoit les tables de la Loi sur la montagne, un apanage qui lui vaut le titre de kalîm Allah — « interlocuteur de Dieu »[12].

Les récits coraniques concernant Moussa, amples et riches, ont suscité de nombreux commentaires mystiques, essentiellement dans les rangs les plus spiritualistes de l’islam, le face-à-face avec Dieu sous l’apparence du buisson ardent étant la quintessence de la rencontre mystique[5]. On en trouve ainsi par exemple chez Ja’far al-Sâdiq, Mansur al-Hallaj ou encore Abū l-Qāsim al-Qushayrī[9].

  • L’image de l’opposition entre Moussa et Pharaon reste vivace et tout homme puissant à l’attitude inique est perçu comme un « Pharaon » auquel « tout croyant peut se sentir investi de la mission de lui rappeler la dimension éthique du monothéisme coranique »[9]
  • Selon Pierre Lory les textes portant sur Moussa et sur les autres prophètes, en dehors du Coran, sont souvent inspirées du midrash
  • ↑ Dictionnaire des symboles musulmans, Malek Chebel, éd

Albin Michel, 1995, p.275

  • ↑ Son nom revient 136 fois : Bible et sciences des religions: judaïsme, christianisme, islam, p. 153.
  • ↑ Coran, Sourate 4 : Les femmes (An-Nisa’) verset 164.
  • Qui Était La Femme Préférée Du Prophète ?

    Aïcha (en arabe : عَائِشَة بِنْت أَبِي بَكْر [ʿĀʾisha bint Abī Bakr]), née à La Mecque vers 614[1], selon la tradition islamique, et morte à Médine vers 678, possiblement le 13 juillet, est la troisième épouse de Mahomet. Fille d’Abou Bakr As-Siddiq et épouse favorite du prophète, elle rapporta de nombreux hadîths consignés par al-Bukhârî[2]. Biographie traditionnelle Aïcha est la fille d’Abou Bakr As-Siddiq[3].

    D’après un récit traditionnel, Khawlah, la femme d’Uthman, proposa à Mahomet, peu après la mort de Khadija de se marier soit avec Aïcha, soit avec Sawda bint Sam’a. Mahomet choisit d’épouser les deux[1]. Aicha épouse Mahomet vers 623 mais n’aura pas d’enfant avec lui[3]. D’après la tradition sunnite et pour la majorité des musulmans[4], Aïcha fut l’épouse préférée de Mahomet[5],[6]. Ce mariage avait probablement pour but de renforcer les liens avec Abou Bakr[1].

    • Durant la vie de Mahomet, elle semble avoir dirigé, avec Hafsa, l’une des deux factions des femmes de Mahomet qui s’opposaient
    • Néanmoins, son impact politique semble alors limité
    • Sentant sa mort venir, Mahomet aurait choisi de s’aliter dans la chambre d’Aïcha[1]
    • Après la mort de Mahomet, alors qu’elle avait environ 18 ans, elle se retrouva interdite de remariage
    • Elle commença à avoir un rôle politique en s’opposant à Uthman[1]

    Après sa défaite, elle retourne à Médine où, malgré une réconciliation avec Ali, elle perd de son pouvoir politique[1]. Elle meurt en 677-678[3]. Elle aurait transmis 1210 traditions mais seules 300 d’entre elles ont été intégrées aux ouvrages de Bukhari et de Muslim[1].

    Mariage avec Mahomet Selon les sources religieuses sunnites du corpus du hadith, Aïcha avait 6 ou 7 ans quand elle s’est mariée à Mahomet et le mariage ne fut pas consommé avant qu’elle n’atteigne l’âge de 9 ou 10 ans[7],[8],[9],[10],[11],[12], vers 623, date à laquelle Mahomet était âgé de 53 ans.

    Quel Prophète Avait Plusieurs Femmes ?

    À sa mort, Mahomet laissa neuf épouses. Sawda était une veuve de cinquante ans, sans attraits. Dès 619, Abû Bakr lui avait donné en mariage sa fille Aïcha, alors âgée de six ou sept ans.

    Quel Âge Avaient Les Femmes Du Prophète ?

  • ↑ a et b « Wives of the Prophet », Encyclopedia of the Qur’an, vol. 5, p. 508 et suiv.
  • ↑ Aysha Hidayatullah, « Mariyya the Copt: gender, sex and heritage in the legacy of Muhammad’s umm walad », Islam and Christian –Muslim Relations, 21, 2010, p. 221–243.
  • ↑ « Maryam the Copt – Oxford Islamic Studies Online », sur www.oxfordislamicstudies.com (consulté le 27 mai 2020)
  • ↑ Selon une autre version, quatre jeunes filles auraient été envoyées.
  • ↑ a b et c Buhl, F., “Māriya”, Encyclopédie de l’Islam, vol. 6, p. 575.
  • ↑ « Anne-Marie Delcambre, Mahomet et les femmes – Clio – Voyage Culturel », sur www.clio.fr (consulté le 25 mai 2020)
  • ↑ E.Geoffroy, « Egypte », Dictionnaire du Coran, 2007, Paris, p.244.
  • Voir aussi Articles connexes Bibliographie

    • Fatima Mernissi, Le harem politique le Prophète et les femmes, Paris, A. Michel, coll. « Espaces libres » (no 219), 2010, 321 p. (ISBN 978-2-226-19148-9 et 2-226-19148-8, BNF 42143594),
    • « Epouse du Prophéte », Dictionnaire du Coran, 2007, Paris, p. 262 et suiv.
    • « Wives of the Prophet », Encyclopedia of the Qur’an, vol. 5, pa. 506 et suiv.

    Filmographie

    • Le prophète Mahomet et les femmes, documentaire de Lila Salmi et Malek Chebel, 45 min, passé sur Arte le 28 août 2007.

    Qui A Rédigé Le Coran ?

    1. Il est composé des révélations faites par Dieu au prophète Mahomet, par l’intermédiaire de l’archange Gabriel, entre 612 et 632
    2. Il est l’acte constitutif de l’islam et sa référence absolue
    3. À la mort du Prophète en 632, ses proches mettent à l’écrit le texte sacré
    4. Il était jusqu’alors transmis à l’oral.

    Qui Est La Première Femme À Avoir Embrassé L’Islam ?

    1. ↑ a b c d e f g et h « Sawda bt. Zamʿa », Encyclopedia of islam, vol.9, p.89 et suiv.
    2. ↑ a b et c « Wives of the Prophet », Encyclopedia of the Qur’an, vol. 5, p. 508 et suiv.
    3. ↑ St. Shoemaker, « Les vies de Mahomet », Le Coran des Historiens, t.1. 2019, p.185 et suiv.
    4. ↑ Olivier Hanne, « Mahomet : une biographie à plusieurs lectures », Moyen-Orient, 2013, p.86-91.

    Où Se Trouve L’Original Du Coran ?

    Des fragments, très rares, pourraient remonter à la fin VIIe siècle ou du début du VIIIe. L’un des plus anciens, daté du VIIème siècle, est conservé à la Bibliothèque nationale de France (voir p. 32). Mais, en l’absence d’autres manuscrits antérieurs au IXe siècle, la datation de ce recueil d’une soixantaine de feuillets ne peut être estimée que par des critères paléographiques. MdB : Il existe une forte controverse sur la langue originelle du Coran. En quoi consiste-t-elle ?

    C. G.: Selon la tradition musulmane, le Coran a été écrit dans la langue de Dieu, autrement dit dans l’arabe le plus clair. Hors pour les chercheurs occidentaux, y compris pour ceux qui reprennent la thèse théologique musulmane, les particularités linguistiques du texte coranique font problème et entrent mal dans le système de la langue arabe.

    Afin de surmonter cette difficulté, plusieurs hypothèses furent proposées, selon lesquelles l’origine de la langue coranique se trouverait dans un dialecte – disons plutôt une « koinè (langue commune) vernaculaire » – de l’Arabie occidentale marqué par l’influence du syriaque, et donc de l’araméen. Le Coran est une production de l’Antiquité tardive. Qui dit Antiquité tardive, dit époque de syncrétisme.

    Quelle Est La Sourate La Plus Puissante ?

    Le Coran contient 6 236 versets. Autant dire que le choix est vaste. Mais l’un d’entre eux revêt une importance particulière. Il s’agit du verset du Trône, issu de la sourate de la Vache. « Toute chose a son sommet et le sommet du Coran est la sourate al-Baqarah, qui contient un verset qui est le plus grand du Coran. », aurait dit le prophète Mahomet.

    La sourate de la Vache, en arabe « Al Baqara », est la deuxième et la plus longue sourate du Coran. Elle contient plusieurs versets bien connus des musulmans. Parmi eux se trouve le verset du Trône, appelé le verset « Ayat Al-Koursî » en arabe, que les croyants connaissent bien souvent par cœur.

    Quel Est L’Autre Nom Du Coran ?

    Le mot arabe قُرْآن, qurʾān, dérive, pour la tradition musulmane, du verbe َقَرَأ, qaraʾa, qui signifie « lire, réciter »[5]. Des érudits musulmans[4] spécialistes du vocabulaire du coran ( » lexicographes ») ont expliqué qu’on pouvait trouver différentes origines à ce terme : par exemple, le sens « rassembler/collecter », ou celui de « lire/réciter ». Pour Anne-Sylvie Boisliveau, dans l’emploi coranique, seul le second est possible. Le terme, qui est un nom d’action, est donc interprétable comme « Récitation »[4].

    Le terme va être utilisé pour désigner le Coran, le livre sacré de l’islam[6]. Pour William Graham, le sens premier du mot Qurʾān renvoie à une « réalité fondamentalement orale et certainement active et continue, plutôt qu’à un codex écrit et fermé tel qu’il servira par la suite en désignant les masahifs »[Note 2].

    L’auteur insiste sur l’originalité du terme qui « est pas attesté avant le Coran lui-même » et qui renvoie au « titre « propre » de la récitation (arabe) du Livre céleste contenant la Parole de Dieu […] une récitation donnée par Dieu à Mahomet, tout comme les précédentes écritures avaient été données à d’autres prophètes pour qu’ils les récitent. »[7]. Pour A.-S. Boisliveau également, le terme qurʾān contient les idées d’oralité et de transmission.

    1. Il est employé dans trois situations et « désigne ce qui, du Coran, est récité et transmis par Dieu […] ce qui, du Coran, est récité et transmis par Mahomet, […] une récitation liturgique »
    2. Le premier usage se rapproche du statut du texte biblique, le deuxième est surtout lié à un contexte polémique qui voit utiliser un vocabulaire similaire au premier, le troisième (plus rare) assimile le Coran à une « Écriture Sainte »[4]

    La définition exacte de l’objet désigné par ce terme est encore incertaine et il n’est pas non plus certain que les trois usages désignent le même objet[4].

    Quelle Taille Faisait Le Prophète ?

    Voir également le récit du Micrâj dans Ibn Hishâm, 1955 : 400. Comme dans l’histoire du moine Baḥîrâ ou de Salmân al-Fârisî (Ibn Hishâm, 1955, I : 182-183 et 220) ou celle du moine Nestor, assez semblable à celle de Bahîrâ, lorsque le Prophète retourne en Syrie à l’âge de 25 ans (Abû Nucaym al-Iṣfahânî, 1320 H. : 54).

    Coran, VII : 157 : « Ceux qui suivent l’envoyé, le prophète illettré qu’ils trouvent décrit chez eux, dans la Torah et l’Evangile… ».

    1. Il faut évoquer aussi les traditions sur les images des prophètes et du Prophète, montrées à des Compagnons qui reconnaissent celui-ci, soit dans un monastère à Buṣrâ en Syrie du temps du Prophète, soit à Damas, durant le califat d’Abû Bakr, en présence d’Héraclius qui fait apporter un grand coffre doré comportant des compartiments fermés à clé
    2. Chaque compartiment contient l’image d’un prophète sur un tissu de soie

    Hishâm b. al-cAṣ qui rapporte l’entrevue, décrit le physique de chaque prophète et reconnaît l’image de Muḥammad, contenue dans le dernier compartiment. Quand lui et son compagnon demandent à Héraclius d’où il tient ce coffret, ce dernier répond qu’il vient d’Adam, qu’il a été rapporté du Couchant puis confié à Daniel par Dhû l-qarnayn (Bayhaqî, 1985, I : 384-90). Cette tradition, signalée par Hamidullah, 1960, a été commentée par Vâlsan, 1962-1963. Ibn al-Jawzî, 1976, II : 39-67.

    Voir également Suyûṭî, 1967, I : 149-177 ; celui-ci part du sceau de la prophétie, mêle les caractéristiques des différentes parties du corps aux capacités physiques et intellectuelles (l’ouïe, la voix, l’intelligence, la marche, le sommeil, la puissance sexuelle, l’absence d’ombre ou de pollution nocturne) et finit par la spécificité de son urine et de ses excréments. Suivent les traditions sur son apparence physique et ses vertus (cf. supra). Cf. Ibn Mâja,1972, ṭahâra, 15, hadîth n° 301.

    Qui Est Le Prophète Noir ?

    Ce dernier a développé tout une doctrine sur les quatre prophètes toujours vivant selon la doctrine musulmane, les « quatre piliers qui soutiennent l’Univers et grâce auquel il subsiste ». Dans cette doctrine se retrouve beaucoup de traits attribués à Hénoch par les littératures apocalyptiques et kabbalistiques. En cela, Idris va jouer un rôle important dans la littérature hérmétiste musulmane[1]. Ibn Arabi décrit Idris comme le « prophète des philosophes » vu le nombre de connaissances qu’il a pu apporter[2].

    1. ↑ a b c d e f g h i et j Addas Cl., « Idris » dans DIctionnaire du Coran, 2007, Paris, p.410-412
    2. ↑ G. Vajda, Encyclopedia of Islam, Idris.
    • Claude Addas, article « Idrîs » in M. Ali Amir-Moezzi (dir.) Dictionnaire du Coran, éd. Robert Laffont, 2007, p. 410-413.

    Quelle Prophète A Vécu 950 Ans ?

    Lui et sa famille étant les seuls humains épargnés, Noé et sa femme sont considérés par la tradition comme les ancêtres de toute l’humanité[3],[4]. La Genèse lui attribue une vie de 950 ans. Dixième et dernier des patriarches pré-déluge (antédiluviens), fils de Lamech et d’une mère sans nom[5], Noé a 500 ans avant la naissance de ses fils Sem, Cham et Japhet.

    1. Le récit du déluge de la Genèse est englobé dans les chapitres 6 à 9 du livre de la Genèse, dans la Bible[6]
    2. Le récit indique que Dieu avait l’intention de ramener la Terre à son état de chaos aqueux d’avant la Création en inondant la Terre à cause des méfaits de l’humanité, puis en la refaisant en utilisant le microcosme de l’arche de Noé
    3. Ainsi, le déluge n’était pas un débordement ordinaire mais un renversement de la Création[7]

    Le récit traite du mal de l’humanité qui a poussé Dieu à détruire le monde par le biais du déluge, de la préparation de l’arche pour certains animaux, Noé et sa famille, et de la garantie de Dieu (l’alliance noéique) pour l’existence continue de la vie sous la promesse qu’il n’enverrait jamais une autre inondation[8]. Après le déluge, Noé offrit des holocaustes à Dieu.

    Dieu a accepté le sacrifice et a conclu une alliance avec Noé, et à travers lui, avec toute l’humanité, qu’il ne détruirait plus la terre pour détruire toute chair par un autre déluge[9]. « Dieu bénit Noé et ses fils, et leur dit: Soyez féconds, multipliez, et remplissez la terre. »

    Qui Est Le Prophète Le Plus Fort ?

  • ↑ Târîkh `Omar ibn al-Khattâb, Ibn al-Jawzi, p. 11.
  • ↑ a et b Amdouni 2005, p. 135.
  • ↑ a et b Tartib wa Tahthib dans Al-Bidayah wa al-Nihayah, Ibn Kathir, publié par Dar al-Wathan publications, Riyadh Kingdom of Saudi Arabia, (2002) compilé par Muhammad ibn Shamil as-Sulami, p. 170, (ISBN 977-5227-18-6).
  • ↑ Muhammad, l’ultime joyau de la prophétie, Safiyyu Ar-Rahmân Al-Mubârakfûrî, p. 149. Ed. Maison d’Ennour (2002) (ISBN 2-910891-44-5).
    1. ↑ Sahih al-Bukhari, 1/545 et Sirâ Ibn Hichâm, 1/349
    2. ↑ Amdouni 2005, p
    3. 136
    4. ↑ Serat-i-Hazrat Umar-i-Farooq, Mohammad Allias Aadil, p
    5. 30
    6. ↑ Amdouni 2005, p
    7. 143
    8. ↑ Armstrong, p
    9. 152
    10. ↑ Soit `Otba ibn Mâlik, soit Mou`adh ibn `Afrâ` selon les versions ↑ Amdouni 2005, p
    11. 144
    12. ↑ Serat-i-Hazrat Umar-i-Farooq, Mohammad Allias Aadil, p
    13. 40-41
    14. ↑ Serat-i-Hazrat Umar-i-Farooq, Mohammad Allias Aadil, p
    15. 42, Sahih al-Bukhari
  • ↑ a et b Tabqat ibn al-Saad book of Maghazi, p. 62.
  • ↑ Sahih-al-Bhukari book of Maghazi, Ghazwa Zaat-ul-Sallasal
  • ↑ Serat-i-Hazrat Umar-i-Farooq, Mohammad Allias Aadil, p. 56.
  • ↑ As-Suyuti, The History of Khalifahs Who Took The Right Way (L’histoire des califes qui prirent le droit chemin, Londres (1995), p. 54–61.
  • ↑ Medieval Islamic political thought, Patricia Crone, p. 18.
  • ↑ Tabari, vol.II, p. 121.
  • ↑ Mohamed Talbi, L’islam n’est pas voile, il est culte, Éditions cartaginoiseries, p. 144
  • ↑ Tabari, vol.II, p. 124. Tabari hésite entre les deux dates, mais semble préférer la seconde.
  • ↑ Tabari, vol.II, p. 128.
  • ↑ Namarîq ou Namraq : lieu non identifié proche de Koufa
  • ↑ Tabari, vol.II, p. 129.
  • ↑ Kaskar : forteresse sur la rive droite du Tigre en aval de Ctésiphon face au site de la future ville de Wasit.
  • ↑ Tabari, vol.II, p. 133-138.
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